Le jargon du graphiste

2 Oct 2022 | GRAPHISME

Le graphisme est une discipline très large qui regroupe beaucoup de termes qui lui sont propres. Souvent méconnus ou même confondus, certains termes méritent d’être précisés pour mieux comprendre le domaine, mais surtout pour faciliter la communication et la compréhension client/graphiste.
Pour cela, je vous ai concocté un lexique regroupant plusieurs termes techniques. Il sera régulièrement mis à jour avec de nouvelles définitions, alors si des termes te manquent, n’hésite pas à me les soumettre, je les ajouterai.

Deux options pour parcourir cet article :

– Une lecture par catégorie

1. Généralités sur le graphisme

2. Identité visuelle

3. Couleur

4. Typographie

5. Composition et mise en page

6. Langage de l’image

7. Formats de fichier

– ou une consultation par ordre alphabétique 

1. Généralités sur le graphisme

Design : 

Discipline visant à représenter concrètement une pensée, un concept ou une intention, en tenant compte des contraintes physiques et techniques. Son objectif est de créer des objets, environnement ou œuvre graphique, à la fois fonctionnels, esthétiques et conformes à des impératifs.

Graphisme : 

Discipline qui consiste à créer, choisir et utiliser des éléments graphiques pour élaborer un objet de communication. Association de typographies, couleurs, illustrations, photographies, design et mise en page afin de créer un support dont le but est de promouvoir, informer ou instruire.

PAO (Publication Assistée par Ordinateur) : 

Mise en page de documents et assemblage d’éléments (images, textes, etc.) réalisés à l’aide d’un ordinateur et de logiciels spécialisés.

Cahier des charges / Brief : 

Document détaillé qui rassemble les demandes et besoins du client pour un projet spécifique. Le cahier des charges va donc définir l’orientation à prendre pour la conception du projet. Il regroupe des renseignements sur l’entreprise, fixe les objectifs, détaille les éléments techniques à prendre en compte, défini les contraintes et permet d’éviter au prestataire de s’engager la mauvaise direction. C’est un document primordial pour une bonne relation client/graphiste.

BAT (Bon À Tirer) : 

Dernière étape avant l’impression, le BAT est remis par l’imprimeur ou le graphiste au client ou à l’annonceur. Il permet de visualiser à quoi ressemblera le fichier une fois imprimé et doit être signé par le client pour validation. Il s’agit donc d’une pièce juridique importante en cas de litige entre le client et l’imprimeur ou le graphiste.

Épreuve : 

Impression avant le tirage définitif. Elle sert à contrôler les couleurs, les emplacements des éléments sur la page et les derniers détails qui auraient pu passer inaperçu à l’écran. Des corrections peuvent y être apportées avant la signature du BAT.

PLV (Publicité sur Lieu de Vente) : 

Correspond à l’ensemble des moyens commerciaux utilisés pour attirer l’attention du client vers un produit ou une offre, au sein du magasin. Il s’agit des outils de signalisation (panneaux, roll-up, kakémonos, banderoles, etc.), présentoirs print ou digitaux, mobiliers, écrans tactiles, bornes interactives, vitrophanies, etc., etc.

Signalétique : 

Regroupe tout élément d’une signalisation permettant de se repérer dans l’espace : panneaux, bâche, affiche, etc, etc.

2. Identité visuelle

Moodboard : 

Aussi appelé planche tendance, le moodbard est un assemblage d’images, d’illustrations, de couleurs, de typographies ou de textures qui véhiculent une ambiance, un univers. Cette planche servira d’inspiration au graphiste, comme un point de départ à son travail de création. Elle fait l’objet d’une présentation au client avant de se lancer dans un projet afin de rapprocher leurs points de vue et ainsi éviter les faux départs.

Identité de marque : 

Il s‘agit de l’image que les gens ont d’une entreprise, d’une marque ou d’une entité. Il ne s’agit donc pas uniquement de l’identité visuelle, mais aussi de sa façon de communiquer et de se comporter, son lien avec sa cible, les valeurs qu’elle défend, etc. En résumé, il s’agit de tout ce qui émane officiellement de l’entité concernée.

Identité visuelle / Identité graphique : 

Regroupe l’ensemble des éléments graphiques permettant d’identifier une entreprise, une marque ou une entité. Elle comprend les couleurs, les typographies, le logo et les formes ou tout autre élément graphique utilisé pour communiquer.

Son but est d’apporter une cohérence visuelle et de véhiculer une image de marque afin d’être connu et reconnu de tous.

Baseline / Slogan : 

Il s’agit d’une phrase courte qui permet de préciser l’activité ou attirer la cible. Souvent liée au logo, dans ce cas, on parle de blog de marque, elle peut aussi vivre seule sur un support de communication, comme une phrase d’accroche. Célèbre exemple : Decathlon, à fond la forme.

Brandboard : 

Planche d’ambiance permettant d’avoir une vue d’ensemble de l’identité visuelle en un coup d’œil. Le brandboard regroupe les éléments principaux de l’identité visuelle, à savoir : le logo, ses déclinaisons, la palette de couleurs, les typographies, les pictos/icônes, les illustrations ou motifs associés, etc. À ne pas confondre avec la charte graphique

Charte graphique : 

Dossier regroupant toutes les règles d’utilisation des éléments graphiques de l’identité visuelle. C’est un mode d’emploi technique pour toute personne amenée à produire du contenu au nom de l’entreprise. L’objectif est que le contenu produit reste cohérent avec l’identité visuelle établie pour maintenir une image de marque cohérente. Ainsi, tous les supports de communication sont harmonisés (mêmes couleurs, mêmes typographies…).

3. Couleur

Couleur : 

Phénomène enregistré par l’intermédiaire de l’œil, lors de la vision d’un élément coloré. Elle dépend de la nature de l’objet, de la lumière qui l’éclaire, de l’œil qui reçoit le message et communique avec le cerveau.

Palette de couleurs : 

Nuancier regroupant différentes teintes.

Cercle chromatique / Roue chromatique : 

Utilisée en graphisme, mais aussi dans de nombreux domaines, il s’agit d’une représentation ordonnée des couleurs qui se succèdent dans l’ordre de celle de l’arc-en-ciel. Contenant des couleurs primaires, secondaires ou tertiaires, la roue chromatique permet de construire des combinaisons de couleurs harmoniques ou contrastées : monochrome, analogue, complémentaire, triadique ou complémentaire adjacente.

Couleurs primaires : 

Couleur ne pouvant pas être obtenue à l’aide d’une autre couleur : Bleu (cyan), Rouge (magenta) et Jaune.

Couleurs secondaires : 

Positionnées entre les couleurs primaires sur le cercle chromatique, les couleurs secondaires sont le violet (mélange de bleu et de rouge), le vert (mélange de bleu et de jaune), l’orange (mélange de jaune et de rouge).

Couleurs tertiaires : 

Les couleurs tertiaires sont toutes les couleurs qui peuvent être obtenues par le mélange d’une couleur primaire à une couleur secondaire ou de deux couleurs secondaires. Les couleurs tertiaires sont infiniment nombreuses et variées, on note particulièrement :

  • le jaune orangé (jaune oeuf), né du mélange du jaune et de l’orange,
  • le vert pistache, obtenu en combinant du vert et du jaune
  • le turquoise : mélange de cyan et de vert

Harmonie de nuances : 

En partant d’une seule couleur de base, on y ajoute des nuances de couleurs voisines. Plusieurs types d’harmonie : monochrome, analogue, complémentaire, triadique ou complémentaire adjacente.

Couleurs monochromes : 

Basé sur l’utilisation d’une seule couleur jouant avec ses nuances claires et foncées. Exemple : différentes nuances de bleu.

Couleurs analogues : 

Combinaison de couleurs proches les unes des autres, voire même à côté sur la roue chromatique. Il y aura donc un faible contraste entre les couleurs. Exemple : du jaune et du orange.

Couleurs complémentaires : 

Combinaison de couleurs opposées sur la roue chromatique. Cela crée un contraste qui dégage de l’énergie, de la vigueur. Exemple : du orange et du violet.

Couleurs triadiques ou complémentaires adjacentes : 

Association d’une couleur avec 2 couleurs adjacentes à la couleur complémentaire. Il s’agit donc de trois couleurs équidistantes sur la roue chromatique comme si elles formaient un triangle équilatéral. Cela crée un faible contraste entre les couleurs adjacentes qui est ravivé par une pointe de couleur opposée. Exemple : combinaison du jaune, du bleu et du rouge.

Couleurs chaudes : 

On associe souvent la chaleur aux couleurs jaune, orange et rouge et leurs déclinaisons. Elles comportent une quantité de jaune et signifient souvent le dynamisme, la luminosité, l’optimisme.

Couleurs froides : 

Par opposition avec les couleurs chaudes, les couleurs froides contiennent du bleu. On retrouve le vert, le bleu et le mauve. Elles inspirent plutôt le calme, la sérénité, la fraîcheur.

Teinte : 

Autre nom pour désigner une couleur, obtenue pure ou avec un mélange de plusieurs couleurs de base dans une certaine proportion.

Ton : 

Teinte/couleur à laquelle on ajoute une quantité de gris ou de blanc pour obtenir une variation plus claire ou plus foncée.

Nuance : 

Résultat du mélange d’une couleur (teinte pure) avec une de ses voisines. Il y a donc de nombreuses nuances d’une même couleur de base. Le rouge, par exemple, peut être plus ou moins nuancé de violet ou d’orange selon la quantité de bleu ou de jaune que l’on y ajoute.

Opacité : 

Niveau de transparence d’un calque ou d’un objet. Si l’opacité est à 100%, l’objet n’est pas du tout transparent (opaque). Si elle est à 0%, il est totalement transparent.

Niveau de gris : 

Une image ou photo en niveaux de gris ne contient que du noir, du blanc et des nuances de gris.

CMJN / Quadrichromie : 

Aussi appelé quadrichromie, CMJN signifie Cyan Magenta Jaune Noir (CYMK en anglais) et correspond au mode colorimétrique utilisé en impression. Modèle soustractif, il représente les trois couleurs primaires, ajoutées au noir, qui une fois mélangées permettent de créer d’autres couleurs. Indispensable lors du processus d’impression, ce mode colorimétrique permet de restituer les couleurs le plus fidèlement possible lors de l’impression. À ne pas confondre avec le RVB, mode colorimétrique utilisé pour les écrans.

RVB : 

RVB signifie Rouge Vert Bleu (RGB en anglais) et correspond au mode colorimétrique utilisé par défaut sur les écrans. Modèle additif, il permet de représenter chaque couleur sous la forme d’une composante de Rouge, Vert et Bleu.

L’affichage des couleurs dépend de la configuration de chaque écran : sur deux écrans différents, les couleurs affichées peuvent avoir un rendu différent même si les nuances sont respectées. De même, les couleurs affichées sur l’écran n’auront pas le même rendu sur papier une fois imprimées.

À ne pas confondre avec le CMJN, mode colorimétrique destiné à l’impression

Lab : 

Espace colorimétrique comprenant les couleurs n’étant pas perceptibles par l’œil humain, c’est-à-dire les couleurs dont les gammes ne dépassent pas celles des modes CMJN et RVB.

Pantone / Ton direct : 

Pantone est une marque américaine dont le nuancier (ou pantonier) fait office de référence pour les couleurs. Chacune de ces couleurs (aussi appelées tons directs) a été obtenue par un mélange (suivant un pourcentage précis) avant impression, contrairement au procédé CMJN pour lequel on ajoute les 4 couleurs lors de l’impression. L’utilisation des références du Pantone garantie l’utilisation d’une gamme de couleurs universelles et permet donc d’éviter les erreurs de rendu à l’impression.

Aplat : 

Un aplat est une surface d’une couleur unie.

Hexadecimal : 

Référence composée de 6 caractères (chiffres et/ou lettres) définissant une couleur unique. Principalement utilisé sur le web, le code couleur hexadécimal est toujours précédé du signe dièse (#).

4. Typographie

Caractère / Glyphe : 

Dessin de la lettre. La lettre peut se présenter en bas de casse (= minuscule) ou en capitale (= majuscule).

Typographie : 

Ce terme a plusieurs usages :

–  L’impression typographique, c’est-à-dire la technique impression permettant d’imprimer sur un support les caractères en relief
–  Le dessin de caractère, c’est-à-dire la création de polices d’écritures
– Le lettrage, c’est-à-dire le dessin manuel avec des caractères

Police / Font (en anglais) : 

Correspond à un ensemble de glyphes/caractères : lettres, chiffres, accents, signes de ponctuation etc. Une police peut disposer de différentes déclinaisons : corps, graisses, styles.

Arial, Trebuchet MS ou encore Times New Roman sont des polices de caractères.

Fonte : 

Terme plus poussé désignant une partie de la police d’écriture ayant les mêmes réglages. Exemple de fonte : (police) Arial, (corps) 12pt, (graisse) bold, (style) italique.

Graisse : 

Il s’agit de l’épaisseur d’un caractère en typographie. Les polices de caractères ont généralement plusieurs graisses de caractère : thin, light, regular, bold, black, etc.

Corps : 

En typographie, il s’agit de la taille, la hauteur d’un caractère, mesure en point typographiques.

Serif : 

Une police Serif signifie que les caractères contiennent des empattements : voir image. Elles sont souvent connotées avec des valeurs conservatrices et traditionnelles.

Sans Serif : 

À l’inverse d’une police avec Serif, une police Sans Serif signifie que les caractères ne contiennent pas d’empattement : voir image. Elles sont souvent conseillées pour une utilisation sur Internet pour une meilleure lisibilité.

Famille de police : 

Ensemble de polices de caractères qui présentent des similitudes. Sans entrer dans les détails, la classification Vox-Atypi différencie 11 familles de caractères : voir image

5. Composition et mise en page d’un document

Chemin de fer : 

Représentation schématique d’un document, page par page ou avec les pages en vis-à-vis, afin de visualiser son organisation de la première à la dernière page.

Texte de substitution / Lorem ipsum : 

Faux texte utilisé dans un visuel à la place du texte final permettant de simuler sa position dans la conception d’un projet, la création d’une maquette. Il s’agit de faux latin tiré de « Des vrais Biens et des vrais Maux », écrit par Cicéron en 45 avant J-C. Il a l’avantage de n’être pas compréhensible, ce qui évite à l’œil d’être déconcentré par le contenu.

Homothétie : 

Action de redimensionner l’image en respectant ses proportions

Fond perdu : 

Le fond perdu est une marge de sécurité pour l’impression, une marge de généralement 3 ou 5 mm que l’on rajoute à la taille initiale d’un document. L’idée est de faire déborder ses images en dehors des limites du document afin d’éviter un liseré blanc lors du façonnage. Cette zone de fond perdu sera découpée à l’impression.

Marge technique / Marge de sécurité / Zone tranquille : 

Marge de quelques millimètres permettant d’être certain que les éléments devant figurer sur le document ne seront pas coupés au moment du façonnage. Mesurant généralement entre 3 et 10 mm, en fonction du support, cette marge est comprise dans le format fini, il s’agit d’une zone où le contenu important (ni texte, ni détail d’une image) ne doit dépasser. À ne pas confondre avec le fond perdu qui se trouve à l’extérieur du document.

Blanc tournant : 

Espace blanc, pleinement assumé, qui consiste à intégrer de l’espace vide autour d’un visuel ou d’un bloc de texte, pour structurer l’espace de la page et mettre en valeur les différents éléments. Techniquement, il n’est pas blanc, mais transparent, c’est-à-dire qu’on y voit l’arrière-plan à travers.

Traits de coupe : 

Placés à l’extérieur du fond perdu, ils servent de repères à l’imprimeur pour couper le document au bon format.

6. Langage de l’image

Image :

Élément présent dans une mise en page ou une page web. Elle peut prendre différentes formes : illustration, photo, graphique… et différents formats (.jpg .png, etc)

Banque d’images : 

On appelle banque d’images un site mettant à disposition, grâce à des contributeurs, un certain nombre de photos, images ou illustrations vectorielles. Selon le type de licence d’utilisation du site, les contenus peuvent être gratuits ou payants, mais la notion « libre de droit » n’indique pas qu’il est possible de tout faire.

Pictogramme : 

Illustration schématique très simplifiée et compréhensible par tous, pour représenter graphiquement un concept, un objet, une idée. Largement utilisé en signalétique, le pictogramme est généralement monochrome. À ne pas confondre avec le logo.

Infographie  :

Deux définitions pour ce terme :
-Désigne le domaine de la PAO (Programmation Assistée par Ordinateur), ou plus communément le « graphisme ».

– Fait référence à un visuel qui représente des données sous la forme d’illustrations.

Illustration :

Représentation visuelle de nature graphique ou picturale permettant de visualiser l’information ou d’agrémenter la composition d’un support de communication.

Vectoriel / Image vectorielle : 

Image composée d’objets géométrique, de formes (segments de droite, arcs de cercle, courbes de Bézier, polygones, etc) que l’on peut transformer, agrandir ou réduire à l’infini, sans perte de qualité.

Bitmap / Image matricielle : 

Désigne une image composée d’une matrice de points appelés pixels que l’on ne voit pas à l’œil nu. Si on zoome sur ces images, on arrive à distinguer des pixels de couleur. Le nombre de pixels contenu dans l’image définit la définition de l’image. À ne pas confondre avec une image vectorielle.

DPI (Dot Per Inch) / PPP (Points Par Pouce) :

Mesure qui désigne la résolution d’une image en nombre de pixels par pouce (1 pouce = 2,54 cm). En impression, on choisira une résolution de 300 DPI  alors que sur le web une résolution de 72 DPI est suffisante.

Résolution / Définition :

Synonyme de netteté. Une image numérique/bitmap est composée de pixels. La résolution détermine le nombre de pixels par pouce (1 pouce = 2,54 cm) exprimée en PPP (Points Par Pouce en français) ou en DPI (Dots Per Ink en anglais). Plus il y a de pixels par pouce, plus il y aura d’information dans l’image, donc plus elle sera précise et de meilleure qualité.

Calque : 

Un calque est une couche d’un document. Les calques se superposent, ceux du dessus peuvent ainsi masquer ceux du dessous s’ils sont placés au même endroit (et selon le niveau de transparence du calque supérieur).

Gabarit / Template / Layout : 

Un gabarit est un template, un modèle de page permettant de garder la même mise en page d’un document lorsque celui-ci est reproduit de manière répétitive.

Mock-up :

Représentation visuelle (et réaliste) d’un prototype (logo, packaging, site web, etc.) afin de faciliter sa visualisation sur différents supports.

7. Formats de fichier

Format de fichier :

Le format d’un fichier désigne la nature d’un document informatique et permet d’identifier le ou les logiciels nécessaire(s) à sa lecture. Chaque fichier porte une extension (généralement entre 2 et 4 lettres) située à la fin de son nom. Exemple : MP3 est un format pour les musique, son extension sera .mp3 et le fichier pourra s’appeler fichier.mp3.

JPG / JPEG :

Acronyme signifiant Joint Photographic Experts Group. Format de fichier d’image compressée (qui se charge rapidement) pouvant utiliser l’extension .JPEG ou .JPG. À privilégier pour le web et les écrans, mais pas pour les impressions.

PNG :

Acronyme signifiant Portable Network Graphics. Format d’image numérique qui permet d’afficher de la transparence en cas d’absence de fond, principalement utilisé sur le web.

GIF :

Acronyme signifiant Graphics Interchange Format. Format d’image permettant de créer des images animées et/ou à fond transparent.

PDF :

Acronyme signifiant Portable Document Format. Format de fichier compressé permettant une fiabilité certaine de la colorimétrie utilisée dans le document et de sa mise en page.

AI :

Les fichiers au format .ai sont ceux créés avec le logiciel Adobe Illustrator. Ils peuvent être édités avec ce logiciel ou ceux de la suite Adobe et sont composés de vecteurs.

PSD : 

Extension des fichiers créés sous Adobe Photoshop. Ils peuvent toutefois être édités dans d’autres logiciels comme GIMP (alternative gratuite à Photoshop).

EPS : 

L’extension .eps est celle d’un fichier Adobe composé d’images vectorielles ou bitmap. On peut créer un fichier .EPS à l’aide d’Adobe Illustrator ou Adobe Photoshop par exemple. C’est le format à privilégier pour l’impression d’une image (avec le format .TIFF).

ZIP :

Format de fichier permettant la compression d’un ou plusieurs fichiers, ce qui réduit leur taille globale et facilite leur transfert. 

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